Malgré le fait que les voitures électriques n’occupent pas une très grande place sur le marché de l’automobile, elle est populaire auprès des soucieux de l’état de l’environnement. Avec ses avantages, peut-elle être classée comme la voiture du futur, ou ses inconvénients vont nourrir la réticence de ses éventuels clients ?

La voiture électrique

Une voiture électrique est un véhicule disposant d’un moteur dont la principale source d’énergie est l’électricité. Selon la taille et la performance nécessaire pour rouler, elle peut être équipée d’un seul moteur électrique ou de plusieurs. Elles utilisent des batteries qu’on peut recharger sur les stations adéquates ou encore par la récupération d’énergie lors des phases de freinages pendant la locomotion. Différentes des véhicules traditionnels, avoir une voiture électrique peut présenter des avantages et des inconvénients.

Les avantages d’une voiture électrique

Un des grands avantages de la voiture électrique, elle ne pollue pas. Contrairement aux voitures dotées d’un moteur à combustion ou à explosion interne, la voiture électrique électrique n’émet pas de gaz carbonique lors de sa conduite, et ne permet pas d’étendre le réchauffement climatique de la planète. Elle est silencieuse, et peut par conséquent avoir accès à des destinations interdits aux véhicules classiques. Côté budget, elle est très économique par rapport au véhicule diesel et essence, et au prix du carburant. Une voiture électrique nécessite peu d’entretien, à cause de la simplicité du moteur électrique par rapport à un moteur thermique. Et enfin, bien qu’elle occupe encore une petite place sur le marché, la demande augmente constamment, ce qui va faciliter la revente de la voiture.

Les inconvénients

Un des inconvénients d’une voiture fonctionnant avec une ou plusieurs batteries est évidemment le temps de charge. Elle peut prendre plusieurs heures pour refaire le plein d’énergie, cependant, plusieurs constructeurs prévoient l’échange de la batterie contre une rechargée. Des stations proposent même la location de batteries complètement rechargée. En second lieu, même si le silence est un avantage, elle est aussi un inconvénient, car le passage d’une voiture électrique dans les villes bruyant sera dangereux pour les piétons, qui ne l’entendront pas s’approcher ou arriver. Et même si la voiture est écologique, la production de sa batterie a un grand impact sur l’environnement, à cause du lithium, un métal rare. Et enfin son prix, à cause du ou des batteries nécessaires, ainsi que sa construction limitée en petite série, une voiture électrique coûte plus cher qu’une voiture classique.

 

L’utilisation d’une voiture électrique implique un nouveau mode de consommation. Idéale pour un usage urbain, elle séduit un bon nombre de conducteurs. Vu que la batterie constitue la pièce la plus coûteuse dans une auto électrique, l’autonomie se met au centre des discussions.

Comment est calculée l’autonomie d’une voiture électrique ?

Deux paramètres déterminent l’autonomie d’une voiture électrique : la capacité de stockage de la batterie (en kilowattheure) et la consommation électrique (en kWh/100 km). Un véhicule électrique consomme moins en ville que sur autoroute, la consommation moyenne se chiffre à 25 kWh/100 km. Cette valeur varie encore selon la température, le type de conduite et le type de route.

Au quotidien, l’autonomie dépend de la recharge et d’utilisation du véhicule. Les modèles d’automobiles actuels répondent aux besoins quotidiens en matière de circulation urbaine, alors que les trajets de plus de 200 kilomètres nécessitent une gamme plus performante.

L’autonomie d’une voiture électrique dépend du type de batterie. En effet, une batterie classique se vide assez rapidement et occupe plus d’espace par ses grandes dimensions. Plus récemment, les batteries en lithium-ion franchissent ces limites et se rechargent plus rapidement pour offrir une longue distance de parcours.

Les facteurs qui réduisent l’autonomie d’une voiture électrique

D’abord, l’autonomie d’une voiture électrique dépend de plusieurs facteurs : le style de conduite, la durée et l’intensité du chauffage. Au contraire, l’utilisation des phares et des radios influe peu sur cette autonomie. De ce fait, les modes économiques permettent de limiter la puissance des moteurs de sorte à étendre l’autonomie.

Ensuite, les batteries se déchargent plus rapidement en période de froid. Le cas s’amplifie une fois sur autoroute d’autant plus que les longues distances drainent beaucoup de batteries. Le conducteur doit s’assurer que son trajet comporte régulièrement des bornes de recharge.

Enfin, une batterie se dégrade avec le temps et perd jusqu’à 15 % d’autonomie en 5 ans. Les promesses des constructeurs constituent des conditions optimales et ne tiennent pas compte du comportement du conducteur et des imperfections des routes.

Comment optimiser l’autonomie d’une voiture électrique ?

La batterie d’une automobile électrique, une pièce très coûteuse, mérite une attention particulière. Afin de réduire la consommation, le mode « éco-conduite » optimise la conduite en ville.

Aussi, une conduite plus douce limite la consommation et assure l’entretien du véhicule. Cela englobe l’accélération, la tenue de route et le freinage. Cette option technologique permet de satisfaire les clients qui se plaignent sur l’autonomie d’une voiture électrique.

Enfin, la puissance de recharge maximale influe sur l’autonomie. Une borne de recharge fournit moyennement 3,7 kWh. Dans de nombreux cas, cela pose problème et nécessite une longue durée de recharge. En solution, les batteries plus récentes nécessitent moins de temps de recharge.

Dans le temps où seuls les véhicules fonctionnant au carburant existaient, conduire une voiture avait un énorme impact sur l’environnement, par l’émission de gaz. Des producteurs de voitures proposent aujourd’hui sur le marché de l’automobile des véhicules propres, même si une voiture parfaitement non polluante n’existe pas. La présence de véhicules « propres » sur la circulation permet de réduire la pollution sur l’environnement.

Pourquoi opter pour une voiture électrique ?

Une voiture électrique est une voiture écologique, la plus écologique en circulation, fonctionnant complètement avec un moteur électrique. Elle peut être équipée d’un seul ou plusieurs moteurs, selon la puissance nécessaire à la voiture. Roulant à l’électricité, et ne nécessitant aucune goutte de carburant, elle n’émet pas de gaz polluant comme le CO2, ce qui est déjà un très gros avantage en termes d’écologie. Elle est silencieuse, et même si les piétons ne sont pas encore habitués à son bruit et peuvent être surpris, la voiture électrique est confortable autant pour le conducteur et agréable à voir circuler pour les personnes ne tolérant pas le bruit.

Pourquoi opter pour une voiture hybride ?

La voiture hybride, même si elle consomme du carburant, est quand même une voiture écologique. Elle reste un des meilleurs choix en termes de limitation de la pollution. Elle roule à la fois avec de l’électricité, donc avec un moteur électrique, ainsi qu’avec du carburant, doté aussi d’un second moteur à explosion interne ou thermique. Le moteur thermique n’est utilisé que lors des locomotions à grande vitesse, c’est le moteur électrique qui fait tourner la voiture au démarrage et en dessus d’une certaine vitesse. Le moteur thermique s’occupe aussi de transformer l’énergie collectée en circulation, pour la convertir en électricité, afin de charger les batteries. Elle n’a donc pas besoin de rester connectée à une prise pour être chargée.

Le Gaz de Pétrole Liquéfié ou le LPG, c’est quoi ?

À part la voiture électrique et la voiture hybride, il existe une autre voiture sur lequel porter son choix pour moins de pollution qu’un véhicule classique, le LPG. Le Liquified Petroleum Gas en anglais, ou le Gaz de Pétrole liquéfié est moins polluant que le diesel ou l’essence. C’est un carburant fossile émettant moins de matières toxiques, d’oxyde d’azote et de particules fines que l’essence et le gasoil, et par conséquent, limitant l’émission de gaz carbonique. Et en plus, le LPG est moins cher que l’essence ou le diesel.

Dans l’optique de vouloir prendre du plaisir dans les circuits, vous avez pleinement le droit de rouler dans votre voiture personnelle. Que vous soyez amateur ou professionnel, vous pouvez choisir le circuit pour rouler. Dès lors, vous devez informer l’assurance par rapport à votre prise de décision afin de pouvoir inclure des options supplémentaires par rapport à votre nouvelle activité.

Pourquoi ne pas piloter sa propre voiture sur circuit ?

Si vous êtes un amateur des courses de voitures, vous pouvez utiliser votre voiture personnelle. Il est jugé crucial d’avoir un véhicule réglementé disposant d’une assurance. Par ailleurs, vous devez absolument détenir un permis de conduire valide. Vous pouvez conduire sur un circuit comme vous le souhaitez. Même si vous ne disposez pas d’une vocation sportive, il vous est possible de rouler pour le plaisir. De cette manière, vous apprendrez mieux à circuler et à maitriser votre véhicule. Il s’agit d’un moyen d’exploiter la capacité de votre voiture tout en mettant en valeur les conditions optimales de sécurité. Force est de constater qu’il n’y a pas de formation particulière pour piloter sur un circuit. De plus, les sessions de pilotage sont libres et ne nécessitent pas des conditions complexes.

Emmener sa voiture sur un circuit

Pour pouvoir rouler sur un circuit, vous devez disposer d’une assurance. Il est plus prudent de s’adonner à une option  supplémentaire en fonction de la fréquence de votre activité. Vous pouvez en parler avec votre assureur pour obtenir l’option idéale pour votre sécurité et celui de votre voiture.  Vous pouvez ainsi vous perfectionner dans votre conduite. Il est possible de vous adonner à des stages en fonction de votre disponibilité et de votre budget. Par ailleurs, si vous êtes un vrai débutant, vous devez donner de l’importance au type de circuit à réaliser.

Tout ce qu’il faut savoir concernant le circuit d’une voiture personnelle

Vous pouvez effectuer un roulage libre dans votre voiture personnelle. Comme il est question de performances, il n’existe pas de spécificités pour rouler en circuit. Sans vouloir se lancer dans une compétition de haut niveau, vous pouvez rouler en toute sécurité. De toute évidence, il est fondamental de se renseigner auprès des professionnels pour comprendre les enjeux de votre décision. Par ailleurs, il ne faut pas hésiter à recourir à des circuits faciles pour commencer. Il s’agit de moments inoubliables vous permettant de rencontrer de nombreuses personnes partageant les mêmes passions que vous.

Un particulier peut être propriétaire d’un ou de plusieurs véhicules selon ses besoins et ses envies. Cependant, puisqu’il s’agit d’un véhicule terrestre à moteur, l’assurance est obligatoire pour chaque voiture. Mais comment trouver la meilleure formule à prix pas cher ?

Quel type d’assurance second véhicule choisir ?

Si votre second véhicule vous sert uniquement de voiture d’appoint, mieux vaut choisir une assurance au tiers ou une garantie responsabilité civile. C’est le minimum légal. Et pour réduire la prime, informez l’assureur de la fréquence d’utilisation. Sinon, vous pouvez également vous tourner vers une assurance au kilomètre. Dans ce cas, vous ne payez que la distance parcourue.

En tout cas, les compagnies d’assurance sont plus enclines à donner des rabais à leurs bons clients pour assurer un second véhicule. De la sorte, assurez vos voitures auprès d’un même assureur et optez pour la formule « deuxième véhicule ». Attention ! L’assureur prendra en compte votre bonus-malus pour le calcul de la cotisation d’une voiture supplémentaire. Par exemple, si vous avez obtenu un bonus pour votre premier contrat, la règle s’applique également lorsque vous souscrivez à une nouvelle assurance pour second véhicule.

Et comment assurer un deuxième conducteur ?

Pour avez totalement le droit d’assurer un second conducteur (conjoint, enfants, etc.) qui pourra conduire votre voiture régulièrement. C’est d’ailleurs indispensable pour garder les garanties actives. En effet, le prêt volant est uniquement réservé pour des occasions ponctuelles. La règle ? Le second conducteur doit figurer dans le contrat d’assurance. Pour ce faire, vous devez vous munir des documents suivants : le permis de conduire du deuxième conducteur, son relevé d’information et sa carte d’identité.

Remarque importante : Il est possible d’assurer plus de 2 conducteurs selon vos besoins. Et dans la majorité des cas, les compagnies d’assurance pratiquent une majoration du tarif, notamment pour les jeunes conducteurs. Néanmoins, si vous êtes assuré depuis plusieurs années auprès d’un même assureur, il se peut que la souscription d’un deuxième conducteur ne vous coûte rien !

Comment trouver les meilleures offres ?

Pour dénicher l’assurance la moins chère, faites jouer la concurrence ! En effet, avant de vous engager, demandez plusieurs devis et comparez pour trouver le meilleur rapport qualité-prix. L’offre de votre ancienne compagnie d’assurance n’est pas très attractive ? Pour vous simplifier la vie, utilisez un comparateur assurance mis gratuitement à la disposition des internautes. Cet outil vous permettra d’accéder à un choix très large correspondant à vos critères seulement en quelques clics. Pour plus d’informations sur le contrat d’assurance de votre choix, rendez-vous sur le site du prestataire.

Normalement, lorsqu’une voiture a été victime d’un accident et a subi en conséquence des dégâts matériels, il importe de procéder à une expertise pour le besoin de la déclaration du sinistre auprès de la compagnie d’assurance. Toutefois, pour être valide, une certaine règle de procédure doit être observée dans la mise en forme du document y afférent. En principe, la compagnie d’assurance fait intervenir à son compte un expert. Quoi qu’il en soit, ce qui intéresse le plus, c’est de savoir comment l’expert chargé de la mission va-t-il procéder dans le montage du rapport d’expertise.

Présence de l’assuré, du garagiste et le mandataire de l’assurance sollicitée pour l’expertise

Apparemment, à la suite d’un accident ou d’un accrochage d’une voiture, l’expert dépêché par l’assureur se charge de l’établissement du rapport d’expertise y afférent. Et ce faisant, la présence d’un garagiste est indispensable, ou à la rigueur le témoignage de l’assuré ou de son mandataire, pour le constat. En effet, l’étape expertise d’un véhicule doit être suivie méticuleusement dans le but de ne pas compromettre sa crédibilité auprès des intervenants après la signature du rapport d’expertise.

Constatation de l’expert de la nature et de l’importance du dégât matériel

À vrai dire, une expertise doit être effectuée, surtout, dans l’objectif de vérifier ou plus exactement de confirmer l’exactitude des informations rapportées au sein de la déclaration du sinistre parvenue auprès de l’assureur. D’autant plus, le constat de l’expert permet aussi d’apprécier la nature et l’importance du dégât subies par le véhicule. Et c’est effectivement, à l’aide de ce rapport que l’assureur procède à l’évaluation du montant de l’allocation de l’indemnité au profit de l’assuré en couverture des dommages que subit le véhicule. À cet effet, il est recommandé au sinistré d’attendre l’examen de l’expert avant de commencer tous les travaux de réparation de la voiture endommagée.

Définition de la méthode de réparation

Par ailleurs, lors de l’établissement du rapport, l’expert essaie d’apporter des précisions sur la méthode à adopter pour la réparation. Évidemment, avec l’appui du garagiste, le coût des travaux de la réhabilitation va être déterminé approximativement. Entre autres, il est tellement important de savoir, au préalable, que le coût des réparations ne doit pas excéder la valeur vénale du véhicule. Et, dans cette optique, pour parvenir à un état de rapprochement, l’expert fait des projections à partir des factures de réparations antérieures, du nombre de kilométrages parcourus par la voiture et, bien entendu, par l’analyse effective des tendances du marché automobile local.

L’Apprentissage Anticipé à la Conduite ou la conduite accompagnée permet au jeune âgé de plus de 15 ans d’obtenir une expérience de la conduite en compagnie d’un adulte. Le jeune apprenti conducteur est toujours encadré par un accompagnateur. Mais, quelle assurance choisir pour une conduite accompagnée et quelles sont les garanties les plus appropriées ?

Qu’est-ce qu’on entend par conduite accompagnée ?

Avant de pouvoir conduire une voiture avec un accompagnateur, on doit avoir 15 ans au minimum, passer une formation en auto-école et avoir suivi au minimum 20 heures de conduite en auto-école. L’autre condition est que le candidat doit passer avec succès l’épreuve de code de la route. À la fin de la formation, une attestation de la fin de formation lui est délivrée. Avant le passage aux épreuves pratiques pour l’obtention du permis de conduire, l’apprenti peut conduire sous la supervision d’un accompagnateur dans les toutes les conditions de circulation possibles. La durée de la conduite accompagnée doit se dérouler au minimum un an avec un parcours de 3000 km au moins. Après cela, il peut passer son permis de conduite dès l’âge de 17 ans et conduire seul à partir de l’âge de 18 ans.

Assurance auto pour une conduite accompagnée

En France, tous conducteurs de véhicule sont obligés de souscrire à une assurance auto pour pouvoir conduire en toute légalité. Afin de pouvoir superviser un apprenti à la conduite, l’accompagnateur doit souscrire une extension de son contrat d’assurance pour son apprenti accompagné. L’avantage est que l’élève bénéficie des mêmes privilèges et de la même couverture que son accompagnateur. Cela dit, il est bon de rappeler que l’accompagnateur est le responsable direct de son élève. Toute infraction ou accident causé par son apprenti accompagné sont passibles d’une amende et d’un retrait de points de permis de l’accompagnateur. Bien que les garanties de l’apprenti conducteur et de l’accompagnateur soient identiques, l’indemnisation en cas d’accident n’est pas la même.

L’assureur, acteur indispensable de l’apprentissage accompagné

Dès le premier pas du jeune conducteur apprenti, l’assureur est mis en cause de près ou de loin à ses actes. La première démarche à faire si vous êtes accompagnateur ou tuteur est de contacter votre compagnie dassurance pour demander une extension de garantie. Si votre assureur donne son accord, un avenant au contrat vous est parvenu et vous devez le signer pour qu’il soit valable. Lorsque la conduite accompagnée est terminée et votre apprenti a son permis de conduire en poche, vous devez le déclarer comme conducteur secondaire s’il continue toujours de conduire votre voiture auprès de votre assureur. Il est préférable de lui souscrire une assurance jeune conducteur à son nom pour qu’il bénéficie d’une réduction de 50 % de surprime. Quelle que soit l’assurance choisie, il serait mieux de faire une comparaison en ligne afin de trouver l’assurance la moins chère et la plus adaptée à votre profil.

La courroie de distribution a un rôle très important dans la motorisation d’un véhicule. L’endommagement de cet élément, assurant le lien entre les arbres à cames qui commandent les soupapes d’échappement et d’admission, la pompe à eau, le vilebrequin et la pompe à injection, est grave. Cela peut, en effet, causer de sérieux dégâts sur le bloc moteur entier. Quand donc changer la courroie de distribution ?

Le rôle de la courroie de distribution

Élément indispensable d’un véhicule, la courroie de distribution permet la bonne organisation des pièces de la mécanique. Afin que cette dernière puisse bien fonctionner, les arbres à cames et le vilebrequin doivent être bien disposés. Cette courroie doit assurer la coordination parfaite entre les actions constantes des soupapes et des pistons. Tout dommage a donc d’importants effets sur la mécanique de votre véhicule. En effet, la contraction de la courroie de distribution est capitale pour qu’elle continue à effectuer sa mission. L’enrouleur et le tendeur ont pour rôle de garder cette contraction. Une courroie de distribution usée peut se dépouiller de ses combles si elle n’est plus assez raide. Cet endommagement va alors entraîner l’arrêt de la mécanique, mais aussi de sérieux dégâts sur celle-ci. Heureusement, faire entretenir sa voiture chez un pro vous évitera un tel problème.

Quand la courroie de distribution nécessite-t-elle un changement ?

Le remplacement de cet élément indispensable d’une automobile varie selon les marques de voitures et aussi leurs modèles. Sa fréquence varie entre cinq et dix ans, mais cela dépend de plusieurs éléments : motorisation, matières de la courroie, temps, km parcourus… Ce changement peut ainsi se faire tous les 60 000 à 160 000 km parcourus. Le mieux est de faire référence à la date et au kilométrage indiqués dans le livret de la voiture. Il est alors nécessaire de voir le contrat d’entretien de la voiture. Il faut toutefois noter que ce sont les mécaniques diesel HDi qui ont des fréquences moins élevées de remplacement. En outre, ne négligez surtout pas la distribution étant donné qu’une casse de la courroie de distribution peut causer de sérieux dégâts, particulièrement sur les pistons, alors qu’un remplacement du bloc sera clairement plus onéreux.

Comment donc effectuer un remplacement d’une courroie de distribution ?

Sachez avant tout qu’un changement de courroie de distribution requiert une bonne connaissance de la motorisation. Il est alors préférable de faire entretenir sa voiture par un garagiste agréé, bien que le coût puisse être assez élevé. D’ailleurs, un remplacement de cet élément sera toujours préférable à des dégâts plus sérieux sur le bloc moteur qui solliciteront alors des dépannages bien plus onéreux et une longue immobilité de votre automobile. Si la courroie doit être remplacée, en fonction de l’âge de la voiture, il peut être intéressant d’effectuer un remplacement total du kit de distribution. En plus de la courroie, ce dernier est constitué de la pompe à eau, du galet de guidage et des galets tendeurs. D’ailleurs, en complément d’un remplacement de courroie de distribution, le changement de la pompe à eau est préconisé.

Quand les gens ont besoin de pièces automobiles, ils veulent de la commodité. La vente en ligne de pièces d’automobile permet aux clients de ne pas sortir de chez eux ou d’aller dans un magasin physique, mais de trouver facilement la pièce dont ils ont besoin et de le recevoir rapidement à travers leurs ordinateurs ou leurs téléphones. Mais comment choisir les meilleures pièces auto  sur  internet ?

L’achat de pièce auto en ligne doit impérativement répondre à vos besoins

Avant d’effectuer l’achat des pièces auto, en premier lieu faites une évaluation solide de vos besoins et respectez la liste. Acheter impulsivement, saisir les choses que vous voulez et dont vous n’avez pas nécessairement besoin est assez tentant au magasin, et c’est très facile lorsque vous magasinez en ligne. Ensuite, la recherche sur internet fera apparaître un vaste assortiment d’accessoires autos, mais il faut se demander si les pièces proposées répondent à vos besoins immédiats en matière de qualité et de prix, existe-t-il certaines promotions d’expédition qui peuvent vous faire économiser de l’argent? Il est important de se demander aussi si le délai de livraison affiché sur le site est-il rapide ou trop long.

L’importance de la vérification de l’origine des pièces auto et du service clientèle

Si vous achetez une pièce auto sur internet, vous ne devez pas utiliser une référence autre que le numéro de pièce OEM, c’est le numéro de référence du constructeur de la pièce en question. C’est une référence unique qui doit être marquée clairement sur la pièce. Dans ce cas, une pièce qui n’a pas de numéro de référence claire ou effacée fait craindre la vente illicite d’équipements automobiles volés ou contrefaits.
Avant de cliquer sur le bouton acheté vérifiez le fonctionnement du service clientèle. Cela va vous permettre de vérifier l’existence d’un service clientèle solide qui pourra répondre à vos questions rapidement soit par mail ou à travers le forum sur le site. Vous devez considérer le service tout aussi important que la sélection pour déterminer le choix du magasin de pièces en ligne.

Choisir le site de vente en ligne de pièce répondant à vos besoins d’économie et d’honnêteté

L’idéal pour une personne souhaitant acheter des pièces de voitures sur le net est de trouver un magasin en ligne offrant des économies tout le temps. Il existe un certain nombre de ces magasins qui a toujours des promotions en place, y compris des promotions de magasinage des fêtes en ce moment. Enfin, la sélection de la pièce de voiture appropriée est importante, de même que le choix d’un magasin de pièces en ligne avec une solide réputation, avec un service client amical et compétent. Sans oublier, les commentaires des clients impressionnés sur la qualité des pièces sur les forums.

Un dysfonctionnement de sa voiture oblige une personne à chercher une ou des pièce détaché pour pouvoir la réparer. Qu’on soit bricoleur dans l’âme ou simple conducteur, où en trouver peut être un obstacle pour l’entretien de sa voiture sans permis. Voici 3 spécialistes en la matière qui ont chacun leur propre spécificité.

Auprès des experts de la voiture sans permis

Ces enseignes sont assez nombreuses dans la Toile et elles se spécialisent uniquement dans la revente de ces pièces détachées. Elles se distinguent en effet pour leur activité qui ne consiste qu’à trouver celles-ci d’occasions ou neuves de qualité. Il arrive même que certains sont des fournisseurs des garages et des concessionnaires. Donc, le choix est étendu pouvant couvrir chaque partie de la voiture dont pneumatique, échappement, carrosserie, composant mécanique ou autres selon le besoin. Encore plus qu’elles ne se cantonnent pas uniquement sur une seule marque. Personnaliser sa voiture sans permis ou changer les pièces usées pourra se faire par la suite avec les bonnes pièces quel que soit le modèle. Ainsi, si on n’en trouve pas chez eux, peut-être chez les concessionnaires, elle existe en stock.

Auprès des concessionnaires et des garages

Les concessions disposent d’atelier dédié à l’entretien des voitures et elles vendent également des pièces VSP spécifiques au modèle de voiture qu’elles représentent. Elles travaillent également avec des garages pour assurer leur service après-vente un peu partout. L’avantage d’acheter ses pièces chez ces spécialistes est de bénéficier celles d’origine. Celles-ci sont après tout, réputées comme plus économiques par rapport au frais de réparation. Elles sont effectivement conçues pour répondre aux exigences techniques d’un modèle spécifique, elles ne présentent par conséquent aucun danger qui risque de causer de dommages à d’autres pièces. Bref, leur durée de vie est assez étendue.

Dans les casses

Le bon plan se trouve certainement dans les casses, ces endroits où sont envoyées les voitures VSP qui ne sont plus utilisées par leur propriétaire. Bien que cette option nécessite de la patience pour trouver l’élément qu’il faut, surtout si sa voiture est un de ces modèles rares, cette solution permet de réaliser une belle économie. Mieux encore en passant par les sites de réseau, ils regroupent un nombre assez important de casses éparpillées un peu partout en France. Certains d’entre elles proposent même du devis gratuit, lequel permet de jouer la concurrence et de déceler parmi ces stocks énormes le produit approprié moins cher. Même en cas de panne soudaine, débourser ne sera pas si lourd en passant par ce système.

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